C’est à l’école d’art de Douai, auprès de Françoise Guyot que ma passion pour la terre est née. On entend souvent que le tournage c’est « l’école de l’humilité ». Je souris encore en repensant aux nombreuses heures passées à essayer de centrer ma terre sur le tour. C’est quand enfin les mains parviennent à créer l’idée que l’aventure commence.
“ Ma journée à l’atelier commence par une inspiration, l’envie de créer une forme en particulier. Cette envie peut naître d’un plat mangé récemment, d’un bouquet de fleurs qui n’a pas trouvé le vase parfait, d’un dessin… Alors je démarre une bonne playlist, je noue mon tablier et la journée peut commencer. ”